M24 SPORT SANTE organise un concours dénommé : DANSE AVEC TON SPORT du 15 mai au 15 juin 2023.
Seuls les élèves du CM1 à la terminale des établissements conventionnés avec M24 Sport Santé peuvent participer à ce concours.
Ce challenge demande aux élèves (seul ou par groupe de 3 élèves maximum) de faire une vidéo sous forme de chorégraphie pour valoriser leur sport préféré. Cette vidéo devra être envoyée au plus tard le 15 juin 2023 à minuit à l’adresse mail de M24 : contact@m24sportsante.fr
Lors de l’envoi de la vidéo, il est impératif d’indiquer les noms et prénoms des élèves, la classe et l’établissement.
La liste des gagnants sera communiquée le 20 juin à midi. Les vidéos lauréates seront diffusées sur les sites M24sportsante.fr et Sports Elite Jeunes et leurs réseaux sociaux. Les gagnants seront informés et les prix leurs seront remis par leurs enseignants.
Détails des lots : Montres connectées, places de match en ligue 1 de l’OM, tee-shirts, places pour un match de hockey « Les Spartiates », etc.
Pour les élèves de primaire, pour valider l’inscription de votre enfant à ce défi, nous vous demandons de bien vouloir compléter l’autorisation ci-dessous
N’hésitez pas à nous contacter pour plus d’informations à l’adresse suivante : contact@m24sportsante.fr
Ils l’ont fait ! Trois élèves du lycée Lacordaire à Marseille ont pu assister à l’entraînement des athlètes du Cercle des Nageurs de Marseille, dans le cadre de la formation aux médias que propose M24 Sport Santé.
Manon Tribouillard, Etienne Bravo et Jules Pelissier ont suivi durant trois heures ces filles et garçons qui seront peut-être médaillés aux JO de Paris 2024. Leur reportage est magnifique. Il donne envie d’enfiler un maillot de bain pour cultiver un corps de rêve. Plongez avec eux, avec nous, dans le bassin olympique du Cercle des Nageurs… Bienvenue dans le grand bain du sport de haut niveau !
L’inactivité physique et la sédentarité font des ravages chez les jeunes collés à leurs écrans. Leurs capacités cardiovasculaires s’amenuisent et le surpoids qui touche déjà un enfant sur 5 menace leur santé d’adulte. Le mois de mai, avec le retour des beaux jours et les ponts, doit favoriser les bonnes résolutions pour sortir, marcher, jouer. Voici pour M24 le constat et les conseils de la professeure Gabrielle Sarlon, cheffe de service de médecine vasculaire et hypertension artérielle aux CHU Timone et Nord de Marseille (APHM).
3 bonnes raisons de pratiquer une activité physique régulière !
L’activité physique régulière est au centre des messages préventifs et de santé publique. Et pour cause, elle impacte directement ta santé de par ses nombreux bienfaits. La professeure Gabriellle Sarlon, spécialiste des maladies cardiovasculaires à Marseille, en a choisi trois ! Elles permettent au quotidien d’améliorer sa santé.
La santé globale et cardiovasculaire est en quelque sorte la base de tout le reste
Professeure Gabrielle Sarlon : « L’activité physique va permettre de favoriser une sécrétion d’hormones par le corps qui, sur le plan cardiovasculaire, vont entraîner un ralentissement du cœur, une ouverture des artères (ce que l’on appelle une vasorelaxation), pour justement faire baisser la pression artérielle, ralentir la fréquence cardiaque et avoir un bénéfice sur le cœur et les vaisseaux.
Autre bienfait de l’activité physique : elle favorise une santé mentale équilibrée
Pr Sarlon : « La 2e bonne raison que je vois, c’est d’avoir des effets réels sur la réduction de la dépression, des troubles psychologiques. Donc à côté du cardiovasculaire, l’activité physique va également permettre d’apporter un bien-être moral et mental. »
Enfin, il y a la capacité à créer du lien social
Pr Sarlon : « La 3e bonne raison est liée à la réduction de l’isolement. Plutôt que de rester devant les écrans, que l’on soit jeune ou moins jeune à interagir, sortir et faire de l’activité physique peut permettre aussi bien de rencontrer des personnes que de découvrir de nouveaux lieux. »
Ne confonds plus « sédentarité » et « inactivité physique » !
Tu es sédentaire ! Tu ne fais pas de sport ! Tu as sans doute déjà entendu ces phrases, à raison ou à tort. Pourtant, souvent dites pour exprimer la même chose, elles n’ont pas exactement le même sens. Comprendre la signification de ces deux termes te permettra par la suite d’analyser les enjeux au niveau de ta santé, l’impact de tes habitudes sur celle-ci, et d’améliorer tes pratiques jours après jours ! Distingue donc :
La sédentarité :
Pr Sarlon : « C’est vraiment le moment que l’on va passer entre le lever et le coucher, en situation d’immobilité, d’inactivité. Par exemple, on sait que passer plus de 2h assis en télétravail va correspondre à de la sédentarité, et ça, c’est délétère ! Malheureusement, c’est l’obésité qui est la plus associée à cette dernière. Les écrans favorisent aussi les périodes d’inactivité, donc on recommande vivement de se lever toutes les 2h dans ces cas-là. »
L’inactivité physique :
Pr Sarlon : « Après, il y a l’inactivité physique. De manière générale, l’activité physique nécessaire correspond à peu près à 150 minutes par semaine, soit environ 4000 pas par jour. Par conséquent, l’inactivité physique, c’est le fait que l’individu va faire moins de 150 minutes d’activité physique par semaine. C’est pourquoi on peut très bien ne pas être sédentaire (être en mobilité toutes les 2h du lever au coucher), et être en situation d’inactivité physique (faire moins de 150 minutes d’activité par semaine).
L’activité physique intensive :
Pr Sarlon : « L’activité physique supplémentaire, qui permet d’améliorer encore plus la santé, c’est de faire au moins 3 fois plus que les 150 minutes recommandées, soit environ 10 000 pas par jour. C’est d’ailleurs ce que l’on recommande entre 6 et 17 ans, voire au-delà. »
La sédentarité et l’inactivité physique attaquent tous tes organes vitaux !
Tu l’auras compris, la sédentarité et l’inactivité physique n’ont chacune aucun effet positif sur ton corps ! Je te laisse donc imaginer le cocktail mortifère qui se produit lorsque, par tes pratiques, tu les laisses progressivement se mélanger. Que tu sois jeune ou moins jeune, l’addition peut-êtresalée ! Il est donc impératif que tu saches que :
Dans le monde entier, les gens meurent de l’inactivité physique
Pr Sarlon : « Si l’on se réfère à des chiffres internationaux, on estime que le manque d’activité physique serait responsable d’environ 7% de toutes les morts confondues par an dans le monde. Il y a donc vraiment un bénéfice de pratiquer une activité physique, même modérée, pour réduire la mortalité. »
Si tu es en capacité d’en faire, tu ne dois surtout pas te priver de faire du sport !
Pr Sarlon : « 4 enfants sur 5 ne pratiquent pas une activité physique quotidienne, et si on regarde les adolescents, cela correspond à peu près à 2 adolescents sur 3 ! Chez les adultes, une personne sur 2 serait en état de surpoids ou d’obésité, un peu plus chez les hommes que chez les femmes. Chez les enfants entre 6 et 17 ans, on est sur des valeurs de surpoids où d’obésité de 17%. C’est près d’1 enfant sur 5! »
Tes organes vitaux sont les premières victimes du cocktail mortifère
Pr Sarlon : « C’est quelque chose de très global parce que le fait d’être sédentaire ou de manquer d’activité physique, cela va donc retentir sur le cœur, les vaisseaux on l’a compris, mais aussi favoriser une prise de poids. Cette prise de poids va ensuite avoir un impact négatif sur le foie, les muscles et la graisse. Après, c’est un cercle vicieux qui va faire que finalement, tous les organes peuvent être touchés ! Par exemple, si l’on parle du cerveau, il y a un risque de développer une hypertension artérielle, et celle-ci peut elle-même provoquer une attaque cérébrale. Donc finalement tout est un peu lié. C’est pour ça que le message est principalement le suivant : Avoir une activité physique permet de réduire les décès, toutes causes confondues, et pas uniquement cardiovasculaires ! »
En tant que femme, jeune ou adulte, redouble de vigilance !
Il est vrai que les femmes vivent plus longtemps que les hommes, soit environ 6 ans (Source : Direction de la recherche, des Etudes, de l’Evaluation et des statistiques, 2020). Plus en détail, il est vrai également que les hommes sont plus touchés par l’obésité. C’est peut-être une des raisons parmi d’autres qui dévie quelque peu ton regard sur une information importante : les femmes sont au premier rang des victimes des maladies liées au cocktail mortifère, et sont plus exposées à ses causes directes !
Les femmes sont plus sédentaires !
Pr Sarlon : « Les femmes sont plus exposées à un risque de sédentarité et d’inactivité physique que les hommes. Les chiffres que l’on a, c’est 70% de femmes inactives et ou sédentaires, contre 42% des hommes. Les hypothèses qui sont données sont que les femmes vont peut-être plus rester à la maison, alors il y a les tâches ménagères. Vous allez me dire qu’il y a une certaine activité, mais finalement, c’est vrai que le fait de rester à la maison, de moins avoir une activité à l’extérieur va augmenter la sédentarité. »
Elles sont davantage victimes des maladies vasculaires !
Pr Sarlon : « On sous-estime le risque cardiovasculaire des femmes alors qu’en France notamment, c’est la première cause de mortalité les concernant. Devant le cancer du sein ! »
Sédentarité, inactivité physique et contraception ne font pas bon ménage !
Pr Sarlon : « La sédentarité entraîne des problématiques d’ordre métaboliques, comme l’obésité, le diabète, le cholestérol. Si la femme, jeune, obèse, prend une contraception, et développe par exemple un cholestérol sans le savoir, elle peut s’exposer à de graves dangers ! De même, l’accumulation, par exemple, de la sédentarité, d’un surpoids, d’un tabagisme chez une jeune femme qui utilise une contraception va provoquer une étincelle qui va faire que l’explosion cardiovasculaire va être dramatique ! »
1 petit pas chaque jour, 1 grand pas pour ta santé !
C’est par des gestes simples que l’on change ses pratiques de manière simple et agréable. Le temps condamne les inactifs, mais accompagne les volontaires, les motivés désireux de changer les choses. Pour lutter contre la sédentarité et l’inactivité physique, avant même de vouloir te mettre à l’activité physique intensive, adopte des gestes simples :
Si tu le peux, pars plus tôt et marche !
Pr Sarlon : « On doit éviter de prendre la voiture dès qu’on a à se déplacer. Essayons d’utiliser les moyens de transport qui nous permettent de faire une activité physique. Je parle bien sûr de la marche et du vélo. Cela me fait penser par exemple à quelque chose que je m’applique : c’est de prendre les escaliers à la place de l’ascenseur ! »
Laisse respirer l’écran !
Pr Sarlon : « Luttons contre l’immobilité. Évitons au maximum de rester de façon prolongée devant les écrans, parce qu’il y a à la fois un risque psychomoteur, psychologique mais aussi cardiovasculaire. »
Une fois les étapes précédentes réalisées, mets-toi au défi !
Pr Sarlon : « L’activité physique plus poussée et plus intense est recommandée. Pour nous aidez, il serait judicieux de la pratiquer en club ou en collectivité pour avoir ce côté ludique qui aide à l’apprécier. »
Le Cercle des Nageurs de Marseille se prépare à de grandes échéances à venir. Les Jeux Olympiques arrivent à grand pas, et le chemin est non sans baïnes et courants d’arrachement. Il est grand temps de se mettre à mal pour peut-être connaître la joie intense de la victoire. Nous étions, accompagnés des élèves de l’Ecole Lacordaire, les invités exclusifs de cette route vers les sommets. Découvrez tout ce qui s’est passé… Play !
Pourquoi est-ce si dur de se mettre au sport ? Pourquoi faut-il s’y mettre tôt ? Et surtout, comment s’y mettre ? Le Docteur Hervé Collado répond à toutes ces questions dans une interview où l’on parle vrai. La vérité et rien que la vérité. Vous serez surpris de voir à quel point celle-ci peut changer votre pratique du sport, et votre vie. Play !
Tous autant que vous êtes, vous n’êtes qu’a 4 séances par mois d’être un sportif régulier et épanoui ! 78 % des jeunes l’ont déjà compris… Il ne reste plus qu’à convaincre les retardataires. Surprenant est l’impact de la crise sanitaire et des événements sportifs sur leur potentielle prise de conscience. Faisons un rapide tour d’horizon.
Mesurer la pratique sportive selon les types de sports et les différents profils d’individus, analyser ses évolutions à intervalle régulier, évaluer les effets de la crise sanitaire sur celle-ci, connaître les éléments la favorisant, et mettre en lumière le rôle déterminant des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 sur cette pratique :
voici les nombreuses missions du Baromètre National des Pratiques sportives 2022.
Découvrons tout cela ensemble !
Les pratiquants réguliers : des exemples à suivre
Comment inciter une personne sédentaire ou un pratiquant occasionnel, à devenir un pratiquant régulier ?
C’est simple. Si vous avez réalisé au moins 52 séances d’activité physique ou sportive au cours des douze derniers mois, soit une fois par semaine en moyenne, vous l’êtes officiellement.
Mais vous l’imaginez bien, tout le monde n’est pas dans ce cas, c’est pourquoi il faut féliciter ceux qui ont franchi le pas, et encourager les autres à le faire.
Des résultats encourageants
60 % ! C’est le nombre de Français de 15 ans et plus ayant pratiqué une activité physique et sportive régulière, soit une évolution de 6 % par rapport à 2018.
En quatre ans, la pratique sportive régulière a donc connu une hausse significative, surtout lorsque l’on connaît les difficultés à inciter aux changements de pratiques positives.
Nous pouvons dire un grand « Merci ! » à la marche et la randonnée, qui ont de nouveau fière allure !
Les jeunes filles et femmes françaises sont actives ! Le constat est net et précis : en 2022, 58 % des femmes sont des pratiquantes régulières d’une activité physique ou sportive, soit 7 points pris depuis 2018.
À contrario, les hommes marquent le pas, mais obtiennent tout de même des chiffres encourageants. Si en 2022, 62 % des hommes de 15 ans et plus ont pratiqué une activité physique régulière, c’est « seulement » 5 % de plus en quatre ans.
On vous l’accorde, nous sommes un peu durs(es) avec eux. Les filles, les garçons, continuez ainsi !
Le sport, on veut bien, mais autrement !
La manière de pratiquer évolue. En effet, la crise sanitaire a laissé derrière elle des empreintes tenaces qui impactent la pratique sportive. Quelle surprise! La montée en puissance du télétravail modifie ces pratiques puisque 30 % des actifs en télétravail déclarent que le fait de travailler à distance a augmenté leur pratique sportive.
Personne ne souhaite une autre crise évidemment, mais chaque crise doit permettre de faire mieux qu’hier. C’est le principe même d’évolution. Heureux sommes-nous de constater quelques rares effets positifs !
Par ailleurs, la santé est plus que jamais au cœur des raisons premières de faire du sport.
Les structures sportives, ne nous abandonnez pas !
L’inscription en club n’est cependant pas toujours accessible. Trois Français sur dix se sont vu refuser une inscription en club ou en association au cours des cinq dernières années. Malheureusement, ceux qui trinquent sont les bas revenus. A ce titre, les jeunes sont particulièrement touchés, puisqu’il s’agit de 46 % des 15-24 ans, et 48 % des étudiants.
C’est un constat alarmant, lorsque l’on sait que les bonnes pratiques s’acquièrent le plus souvent et plus aisément durant la jeunesse, et que la pratique sportive soutenue joue un grand rôle dans notre état de santé futur. Comme dirait un grand commentateur sportif : Pas ça ! Pas après tout ce que vous avez fait !
De grâce, continuez à tendre la main aux jeunes.
Il y a toujours de bonnes, et des vrais raisons de faire ou de ne pas faire.
Chez les jeunes comme les moins jeunes, les contraintes professionnelles, scolaires, familiales, mais aussi le coût sont les principaux freins à une augmentation de la pratique sportive. Par ailleurs, 29 % des personnes sondées ne pratiquent pas, car elles estiment que cela coûte trop cher.
Surprenant : l’âge, l’état de santé et le manque d’envie ne représentent que 15 %.
Les Jeux Olympiques : Un intérêt relatif mais…la preuve que les choses avancent
C’est toujours ça de pris !
59 % des Français envisagent de regarder les JO de Paris 2024, soit 1 % de plus qu’en 2020. Parmi eux, 50 % n’envisagent pas d’aller au stade afin de vivre l’évènement en présentiel, mais plutôt de le vivre à la télévision ou sur internet.
Le sport féminin, à raison, gagne en légitimité auprès des spectateurs. Selon ce baromètre, 71 % des personnes intéressées par les Jeux Olympiques de Paris 2024 ont l’intention de suivre autant le sport féminin que masculin.
Cependant, en analysant plus finement les données, l’intérêt pour le sport féminin ou le sport masculin est très genré : 15 % des femmes indiquent vouloir regarder uniquement du sport féminin, contre 2 % des hommes. Parallèlement, 29 % des hommes déclarent un intérêt exclusif pour les sports masculins, contre 10 % des femmes. Les Jeux Paralympiques, eux, seront plutôt bien suivis. Près de la moitié des Français envisagent de les regarder.
Mais les Jeux Olympiques et Paralympiques sont également l’occasion de découvrir des sports méconnus, originaux pour le coup, mais non moins intéressants. 60 % des Français pensent profiter des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 pour découvrir de nouvelles disciplines qu’ils ou elles ne suivent pas habituellement.
En somme, le fait que les Jeux se déroulent en France n’a pas un impact significatif si l’on se fit exclusivement à l’enquête, mais on observe des changements encourageants, notamment ceux liés aux modes de pensée.
Ainsi, le baromètre national des pratiques sportives nous a fourni des données appréciables. Sur 4023 personnes interrogées, des résultats encourageants sont à mentionner. De l’évolution positive de la pratique sportive des Français en 2022, l’écart se resserrant entre hommes et femmes dans la pratique sportive, cette pratique plus importante parmi les catégories sociales plus modestes, la montée en puissance du télétravail modifiant celle-ci, en passant par l’impact des Jeux Olympiques sur la vision du sport des Français; De nombreux chiffres ont mis en lumière des progrès évidents, et des axes d’amélioration persistants. Pour ceux qui souhaitent découvrir d’autres chiffres interessants, vous pouvez vous rendre sur le site web de l’Institut National de la Jeunesse et de l’Education Populaire (INJEP), en cliquant ici.
Concernant les pratiques, il a été identifié que les filles font plus de danse, de gymnastique, de sports aquatiques et nautiques, de marche et de course. Les garçons, eux, font davantage de sport de cycle et collectifs.
Cela étant dit, mesdames, mesdemoiselles, osez rouler sur la jante, et faites la passe ! Messieurs, mesdamoiseaux, plongez, courez, dansez maintenant !
L’organisation des JO 2024 recrute 3 000 étudiants pour participer à des missions de sécurité. La carte délivrée au terme d’une formation rémunérée permettra de travailler jusqu’en 2025.
Vous le savez sans doute : les Jeux Olympiques 2024 auront lieu en France du vendredi 26 juillet au dimanche 11 août 2024 et les Jeux Paralympiques du 28 août au 8 septembre. L’accueil des 15 millions de spectateurs venus du monde entire ainsi que leur sécurité seront bien entendu une priorité. C’est pourquoi l’organisation de ces deux évènements phares recrute…et si tu es étudiant(e), tu auras un grand rôle à jouer !
Les JO c’est aussi à Marseille
Les Jeux Olympiques et Paralympiques 2024, organisés à Paris, mais également à Marseille notamment pour les épreuves de voile et dix matchs de foot féminins et masculins (dont deux de l’équipe de France), seront un vivier d’emplois pour les étudiants(es). La team M24 s’empresse de te relayer l’information, afin que tu ne restes pas sur la touche, ou au moins que tu tentes ta chance. Autant dire qu’il y aura du pain sur la planche !
En effet, l’organisation recherche activement 3000 étudiants(es), afin de rejoindre les milliers d’agents de sécurité privés, intégrant le dispositif d’accueil des spectateurs et de sécurisation des lieux durant les évènements. Il faut être majeur et avoir un casier judiciaire vierge. Les missions durant l’événement seront les suivantes : réaliser des contrôles d’accès, effectuer la sécurisation des sites olympiques, village olympique, pôle médias, espaces VIP…
L’occasion d’être immergé(e) dans le spectacle
Gagner sa croûte, tout en vivant de près un moment historique : c’est la promesse faite par l’organisation.
Tu pourras sentir la ferveur ambiante dans les stades, regarder au plus près les exploits de tes idoles, tout en étant l’acteur(rice) d’un événement accueillant et sécurisé. Si tu souhaites vivre et contribuer à cela, dépêche toi de te former ! 3000 places, ça part vite mine de rien.
Une fois que tu auras pris contact avec l’organisme et que tu l’auras informé de ton intérêt, il te restera à constituer ton dossier.
Etape 2: forme-toi, c’est gratuit et rémunéré
Pour devenir agent sur ce type de manifestation, il te faudra suivre 3 semaines de cours. Les deux premières en présentiel, la dernière en distanciel. La formation est répartie sur 106 heures rémunérées. C’est Pôle emploi qui t’informera ensuite des missions proposées.
La possibilité d’être recruté(e) pour d’autres événements
A l’issue de cette formation, tu obtiendras une carte professionnelle valable jusqu’en 2025. Elle te permettra d’être embauché(e) dans de nombreux événements sportifs et culturels accueillant plus de 300 personnes, des grands matchs aux méga concerts.