Le Cercle des Nageurs de Marseille se prépare à de grandes échéances à venir. Les Jeux Olympiques arrivent à grand pas, et le chemin est non sans baïnes et courants d’arrachement. Il est grand temps de se mettre à mal pour peut-être connaître la joie intense de la victoire. Nous étions, accompagnés des élèves de l’Ecole Lacordaire, les invités exclusifs de cette route vers les sommets. Découvrez tout ce qui s’est passé… Play !
Ils sont arrivés en rangs serrés de tous les coins de la 2e ville de France en ce premier mardi d’avril sur le vieux stade mythique d’Endoume, au pied de la basilique Notre-Dame de la Garde. Saint-Barnabé (12e), Mazargues (9e), La Cabucelle et La Viste (15e), Saint-Just (13e), La Capelette (10e), La Blancarde (4e), Le Camas (5e), Vauban (6e), le Prado (8e)… Autant d’arrondissements que de quartiers pour illustrer toute la diversité marseillaise, avec des écoles mélangeant élèves valides et en situation de handicap venant participer à cette première journée « Olympisme pour tous » organisée par l’association M24 Sport Santé.
Handi-foot, relais à l’aveugle
Quelque 500 scolaires du CM1 à la terminale avaient donc rendez-vous avec le sport sous toutes ses coutures dans le cadre de la Semaine nationale Olympique et Paralympique. Au menu : des courses de relais à deux avec un élève les yeux bandés, du handi-foot, la découverte de l’aviron pratiqué par Alexis Sanchez, étudiant qui a perdu ses jambes dans un accident de scooter ou de la natation avec Clara Mattei, championne de France 3 nages Handisport, mais également l’initiation au volley, deux tournois de basket endiablés et bien sûr, parce qu’on est à Marseille, 7 tournois de foot (si,si!) acharnés mais à la fin desquels on se tape tous dans la main.
Comme vous le verrez dans le très joli et fort humoristique reportage de Nathan Pulvar en lien de notre article, les élèves ont adoré.
Photographie par Anne-Sophie NIVAL / Hans Lucas
Les enseignants survoltés
Les enseignants n’étaient pas en reste à l’image de la formidable professeur d’EPS du collège-lycée juif ORT-Bramson, Cathy Boyer, et de son énergique consoeur Lorie Debarge du collège-lycée musulman Ibn Khaldoun, qui ont piloté avec brio les tournois de basket : « Ce fut une journée fantastique, les jeunes ont beaucoup appris et échangé entre eux. » Même engouement chez Guillaume Rappelin (Lacordaire) et Alexandre Bartoli (Cours Notre-Dame de France). Stanislas Rinci (La Viste), Cyril Monaggheddu (Sainte-Trinité), Idris Labane (Ibn Khaldoun) et Cédric Follain (Provence) se sont régalé à superviser le foot sous la houlette de Dominique Rabier, vice-président de M24 et responsable de la commission Sport qui était au four et au moulin.
« C’était génial ce que vous avez proposé aux élèves« , se réjouissait la cheffe d’établissement de l’ORT, Vanessa Zeitoun. Son confrère de Saint-Charles Camas, Kléber Corenflos, avait lui aussi les yeux qui pétillaient, et Julien Garnung (La Viste) tout comme Xavier Méry (Sainte-Trinité) n’avaient qu’une envie : rentrer sur le terrain pour pousser leur équipe! Doucement les gars quand même, vous n’êtes plus tout sveltes…
Le capitaine amputé enrhume les lycéens gaillards !
A midi, tous ces enfants et leurs accompagnateurs ont vécu un moment qui compte dans une vie : la rencontre avec des footballeurs amputés de l’US Endoume. Rémi Salas et Jérôme Raffetto, capitaine de l’équipe de France, ont livré un festival dans un match avec une sélection M24 de lycéens où personne ne s’est fait de cadeau, dans un respect total de l’adversaire toutefois. Et quels dribbles, quel but que celui inscrit par Cap’tain Raffetto au terme d’un slalom parmi les lycéens ! Du gruyère votre défense, les minots (à voir dans notre vidéo évidemment) !
Le foot a sorti Rémi du trou
« J’ai rejoint le foot amputé cet hiver, quand Sabri Dhaoudi le manager de l’US Endoume est venu me chercher, confie Rémi Salas. J’étais au fond du trou, ça m’a sauvé la vie. » Sauver la vie : c’est également ce qu’a expliqué cet homme au courage extraordinaire qui s’appelle Alexis Sanchez. Pas celui de l’OM, non.
Cet Alexis-là a perdu ses deux jambes dans un accident voilà quatre ans. C’est lors de sa rééducation avec l’association l’Avi Sourire qu’il a découvert l’aviron dans les bassins de l’Estaque (Marseille 16e). Depuis, il enchaîne les vagues et les kilomètres, et a déjà arraché à la force des épaules plusieurs titres de champion de France et de vice-champion d’Europe. Ce qu’il vise désormais, c’est la qualification aux Jeux Olympiques Paris 2024.
« Le Monsieur, il a pas de jambes! »
« T’as vu le monsieur, il a pas de jambes mais des cannes en fer ! » Étonnement pour ces deux fillettes de CM1 en cette journée particulière de découvertes. Alexis ne cache jamais ses prothèses. Il se réjouit de la réaction des enfants. Car l’étonnement, c’est justement s’ouvrir à l’altérité, à la différence, et c’est bien un des objectifs de M24 que de favoriser l’inclusion de toutes et tous. Et si on réfléchit bien, lequel d’entre nous n’est pas différent des autres, à un titre ou un autre ?
Quelle leçon de vie et de courage ont ainsi reçue nos élèves ! Surtout quand Alexis regarde les petits courir derrière un ballon et confie : « Je n’ai qu’une envie, c’est les rejoindre. » Ou quand les minots apprennent que Clara Mattei, dont les bras sont atrophiés, est championne de natation. Et, répondant à l’invitation de Jean Castelli, président délégué du Cercle des Nageurs partenaire de M24 et présent ce mardi, Clara a fait une promesse : « Je viendrai nager avec les enfants lors du Relais de Natation le 20 juin dans le bassin olympique. »
Le sport améliore la santé
Eh ouais, rien que ça les amis ! Des champions (on attend aussi le poloïste Alexandre Camarasa et le Cercle des Nageurs va mobiliser ses troupes de médaillés), une piscine prestigieuse qui a vu fleurir les Gilot, Manaudou et Lacourt, pour quelques centaines d’écoliers qui donneront le meilleur. Ce sera donc le 20 juin.
Mais au fait, au-delà de la beauté du geste et de la nécessaire solidarité qui fait la beauté de la vie, pourquoi toute cette énergie au service de la jeunesse ? Parce que sa santé pose question, comme l’a rappelé le président de M24, Xavier Méry : « Les élèves ont pu se rendre compte de la difficulté que peut représenter le handicap, et comment le sport peut être un moyen d’améliorer sa santé.«
Les chiffres sont effarants
Les chiffres sont effarants avec un quart des jeunes de 11 à 17 ans en surpoids ou obèses. L’inactivité fait des ravages, 49% d’entre eux présentent un « risque sanitaire très élevé » selon l’ANSES (étude en 2020) en raison d’une sédentarité accrue par une consommation immodérée des écrans et d’un effondrement de la pratique sportive hors école, avec moins de 20 minutes par jour quand la recommandation est de 60 minutes. C’est de ce constat terrible pour nos enfants qu’est née M24. Pour ne pas accepter l’inacceptable.
Vice-président de M24, le docteur Hervé Collado voit se profiler la catastrophe : « Cette génération est peut-être la première qui vivra moins longtemps que celle de ses parents, notamment à cause de toutes les maladies engendrées par le surpoids et l’inactivité. » TOUS les spécialistes tirent la sonnette d’alarme : nos enfants vont payer cher leur inactivité.
Raffetto digne de Payet (une jambe en moins)
Philippe Blua, directeur général de l’Hôpital Européen, souligne cette nécessité de prendre le taureau par les cornes et alerte sur la flambée des maladies chroniques comme le diabète : « Un des éléments pour éviter de tomber malade, c’est la pratique du sport. » A l’Hôpital Saint-Joseph, le directeur-adjoint Florent Rovello ne dit pas autre chose quand il rappelle que le sport est devenu un recours fondamental pour sortir de la maladie. Et puis il fallait le voir, lui l’ancien footballeur d’Endoume, regarder avec des yeux ébahis la performance des footballeurs amputés, quand Jérôme Raffetto claque une reprise de volée digne de Dimitri Payet ! « Quand tu vois leur énergie, et ce qu’ils font avec une jambe en moins, tu arrêtes de te plaindre de tes misères du quotidien et tu te bouges! »
La joie dans les yeux des enfants
Qu’ajouter ? Sinon que le bonheur était dans le stade hier pour des centaines de gosses et leurs éducateurs. Il faut dire que tous étaient sous bonne protection, celle de la Bonne Mère de tous les Marseillais, quelles que soient leurs origines.
Ajouter aussi qu’on avait le cœur qui battait la chamade quand les enfants ont explosé de joie à l’annonce des résultats des tournois, car finalement presque tous les établissements participants (1) sont repartis avec une coupe. Le bonheur étincelait dans leurs cris, dans leurs yeux, dans leurs « merci » (oui, oui, ils savent dire merci…).
Cheerleaders, une autre façon de faire du sport
Bon, il est temps à notre tour de remercier les fantastiques personnes qui ont animé cette journée : les 24 collégiennes de Sainte-Trinité qui ont donné un magnifique spectacle de cheerleaders (leur groupe coaché par leur surveillant et bientôt prof d’EPS Alexandre s’est constitué dans le cadre des activités de M24), aux élèves de première de ce même lycée qui ont arbitré les matchs des primaires, à tous les enseignants présents – mention spéciale à Céline Herzog, Christine Rabier, Lorie Debarge et Cyril Monaggheddu qui ont été fantastiques -, à Ismaël Mekhdelouf de l’institution Vitagliano-Apprentis d’Auteuil qui a organisé un stand d’initiation aux premiers secours avec ses élèves.
Chapeau aux parents d’élèves qui ont pris une demi-journée, merci à Sabri et Ramzi Dhaoudi de l’US Endoume, à la Ville de Marseille qui a mis le terrain à disposition, à nos partenaires qui ont fait le déplacement à l’image des hôpitaux Européen et Saint-Joseph, du Cercle des Nageurs avec Jean Castelli et Morgane Mascret, d’Ecole Directe et de son président Yves Blisson, des Spartiates avec Richard Crouzet, d’Adda Abdelli l’auteur de la série « Vestiaires » sur France 2, d’Adèle Stern, project manager pour les JO 2024 dans le Sud de la France représentant Cédric Dufoix… Clin d’oeil à l’équipe M24 mobilisée sur le pré (Xavier Mery, Dominique Rabier, Baptiste Boulan, Laetitia Delouis, Nathan Pulvar) Sports Elite Jeune a fourni en guise de souvenirs des balles très appréciées à tous nos jeunes compétiteurs.
UN IMMENSE MERCI A NOS PHOTOGRAPHES PROFESSIONNELS QUI ONT OFFERT LEURS TEMPS ET LEUR TALENT A M24 : ANNE-SOPHIE NIVAL ET CLAUDE ALMODOVAR
Les 25 et 26 mai, on y retourne !
Pour terminer, une dernière info : on remet le couvert les 25 et 26 mai au stade Delort avec la quinzaine d’établissements engagés dans M24 Sport Santé pour un méga Relais sur la piste des championnats de France d’athlétisme. Parce que notre credo est double : 1- le sport change nos vies, celle de nos enfants en les poussant à faire du sport ! 2- à Marseille, on craint dégun !
(1) Les établissements scolaires ayant participé à cette journée sont : Sainte Trinité, Notre Dame de la Viste, Provence, ORT Bramson, Lacordaire, IBN Khaldoun, Notre Dame de France, Sainte Marie Blancarde, Saint Barnabé, Saint Charles Camas, Jeanne d’Arc, Vitagliano-Apprentis d’Auteuil
« Olympisme pour tous » est une rencontre inédite qui se déroule au pied de la Bonne Mère en ce mois d’avril 2023 : des centaines d’élèves du CM1 à la terminale vont montrer que le sport rassemble les garçons et les filles, quelles que soient leurs différences.
La date du 4 avril 2023 est gravée au feutre rouge sur le calendrier de classe de plus de 500 élèves. Ils font partie d’un établissement scolaire engagé dans l’association M24 Sport Santé* et ce jour-là se déroule l’opération « Olympisme pour tous ». Elle a été conçue pour rassembler des enfants valides et des classes d’élèves en situation de handicap, dans le but de mieux se connaître en participant à la Semaine nationale Olympique et Paralympique.
Sur le stade le plus connu de Marseille (ou presque)
Tous seront mélangés sur le stade di Giovanni, situé boulevard Tellène à Marseille. Quel formidable écrin pour accueillir cette première séquence sportive de M24 ! Ce vieux stade de 98 ans où évoluent les équipes de l’US Endoume est le plus célèbre de Marseille (après le Vélodrome, d’accord !). Et pourquoi ?
On vous le donne dans le mille ! Mais parce qu’il est au pied de Notre-Dame de la Garde ! Immanquable pour les deux millions de visiteurs de la basilique dont le regard embrasse le Vieux-Port, le Pharo, la rade, et ce fameux terrain de foot donc.
Le sport fait l’union, l’union fait la force
C’est dans ce lieu symbolique que les enfants venus de 12 établissements vont s’affronter lors de matchs de foot, de basket, de volley, et de courses de relais avec les yeux bandés. Ils pourront également échanger avec des sportifs en situation de handicap qui leur expliqueront que rien ne peut arrêter une fille ou un garçon quand il le veut, et que le sport réconcilie avec la vie en même temps qu’il permet d’améliorer sa santé.
Voilà pourquoi cette journée « Olympisme pour tous » colle parfaitement avec les valeurs véhiculées par M24. Le sport fait l’union par-delà les différences, et l’union fait la force. Clara Mattei, championne de France handisport en titre en 150 mètres 3 nages, et Alexis Sanchez, rameur au club d’aviron L’Avi Sourire, titulaire de plusieurs titres de champion de France et qui vise la qualification aux JO 2024, discuteront avec les enfants.
Match de foot avec des joueurs amputés des jambes
Ces témoignages s’annoncent percutants. Alexis, étudiant ingénieur de 24 ans qui a perdu ses deux jambes au-dessus des genoux dans un accident de scooter voilà quatre ans, a remonté la pente par le sport. « C’est un moyen concret de se fixer des objectifs et de repousser nos limites. Le sport est un vecteur de résilience, il nous permet chaque jour de devenir meilleur et plus fort. »
A midi ce mardi, une douzaine de lycéens issus des différents établissements vivront aussi une expérience très forte : ils disputeront une partie de foot contre l’équipe adultes amputés de l’US Endoume. Une journée sous le signe du slogan de M24 : le sport change nos vies !
*Les établissements scolaires participants à cette journée du 4 avril sont : Ecole de Provence, Cours Notre Dame de France, Saint-Charles-Camas, collège-lycée ORT-Bramson, Vitagliano-Apprentis d’Auteuil, Ecole Lacordaire, Ecole Jeanne d’Arc, Saint-Barnabé, Sainte-Marie Blancarde, collège-lycée Ibn Khaldoun, Institution Sainte-Trinité, Notre-Dame de la Viste.
Pourquoi est-ce si dur de se mettre au sport ? Pourquoi faut-il s’y mettre tôt ? Et surtout, comment s’y mettre ? Le Docteur Hervé Collado répond à toutes ces questions dans une interview où l’on parle vrai. La vérité et rien que la vérité. Vous serez surpris de voir à quel point celle-ci peut changer votre pratique du sport, et votre vie. Play !
Tous autant que vous êtes, vous n’êtes qu’a 4 séances par mois d’être un sportif régulier et épanoui ! 78 % des jeunes l’ont déjà compris… Il ne reste plus qu’à convaincre les retardataires. Surprenant est l’impact de la crise sanitaire et des événements sportifs sur leur potentielle prise de conscience. Faisons un rapide tour d’horizon.
Mesurer la pratique sportive selon les types de sports et les différents profils d’individus, analyser ses évolutions à intervalle régulier, évaluer les effets de la crise sanitaire sur celle-ci, connaître les éléments la favorisant, et mettre en lumière le rôle déterminant des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 sur cette pratique :
voici les nombreuses missions du Baromètre National des Pratiques sportives 2022.
Découvrons tout cela ensemble !
Les pratiquants réguliers : des exemples à suivre
Comment inciter une personne sédentaire ou un pratiquant occasionnel, à devenir un pratiquant régulier ?
C’est simple. Si vous avez réalisé au moins 52 séances d’activité physique ou sportive au cours des douze derniers mois, soit une fois par semaine en moyenne, vous l’êtes officiellement.
Mais vous l’imaginez bien, tout le monde n’est pas dans ce cas, c’est pourquoi il faut féliciter ceux qui ont franchi le pas, et encourager les autres à le faire.
Des résultats encourageants
60 % ! C’est le nombre de Français de 15 ans et plus ayant pratiqué une activité physique et sportive régulière, soit une évolution de 6 % par rapport à 2018.
En quatre ans, la pratique sportive régulière a donc connu une hausse significative, surtout lorsque l’on connaît les difficultés à inciter aux changements de pratiques positives.
Nous pouvons dire un grand « Merci ! » à la marche et la randonnée, qui ont de nouveau fière allure !
Les jeunes filles et femmes françaises sont actives ! Le constat est net et précis : en 2022, 58 % des femmes sont des pratiquantes régulières d’une activité physique ou sportive, soit 7 points pris depuis 2018.
À contrario, les hommes marquent le pas, mais obtiennent tout de même des chiffres encourageants. Si en 2022, 62 % des hommes de 15 ans et plus ont pratiqué une activité physique régulière, c’est « seulement » 5 % de plus en quatre ans.
On vous l’accorde, nous sommes un peu durs(es) avec eux. Les filles, les garçons, continuez ainsi !
Le sport, on veut bien, mais autrement !
La manière de pratiquer évolue. En effet, la crise sanitaire a laissé derrière elle des empreintes tenaces qui impactent la pratique sportive. Quelle surprise! La montée en puissance du télétravail modifie ces pratiques puisque 30 % des actifs en télétravail déclarent que le fait de travailler à distance a augmenté leur pratique sportive.
Personne ne souhaite une autre crise évidemment, mais chaque crise doit permettre de faire mieux qu’hier. C’est le principe même d’évolution. Heureux sommes-nous de constater quelques rares effets positifs !
Par ailleurs, la santé est plus que jamais au cœur des raisons premières de faire du sport.
Les structures sportives, ne nous abandonnez pas !
L’inscription en club n’est cependant pas toujours accessible. Trois Français sur dix se sont vu refuser une inscription en club ou en association au cours des cinq dernières années. Malheureusement, ceux qui trinquent sont les bas revenus. A ce titre, les jeunes sont particulièrement touchés, puisqu’il s’agit de 46 % des 15-24 ans, et 48 % des étudiants.
C’est un constat alarmant, lorsque l’on sait que les bonnes pratiques s’acquièrent le plus souvent et plus aisément durant la jeunesse, et que la pratique sportive soutenue joue un grand rôle dans notre état de santé futur. Comme dirait un grand commentateur sportif : Pas ça ! Pas après tout ce que vous avez fait !
De grâce, continuez à tendre la main aux jeunes.
Il y a toujours de bonnes, et des vrais raisons de faire ou de ne pas faire.
Chez les jeunes comme les moins jeunes, les contraintes professionnelles, scolaires, familiales, mais aussi le coût sont les principaux freins à une augmentation de la pratique sportive. Par ailleurs, 29 % des personnes sondées ne pratiquent pas, car elles estiment que cela coûte trop cher.
Surprenant : l’âge, l’état de santé et le manque d’envie ne représentent que 15 %.
Les Jeux Olympiques : Un intérêt relatif mais…la preuve que les choses avancent
C’est toujours ça de pris !
59 % des Français envisagent de regarder les JO de Paris 2024, soit 1 % de plus qu’en 2020. Parmi eux, 50 % n’envisagent pas d’aller au stade afin de vivre l’évènement en présentiel, mais plutôt de le vivre à la télévision ou sur internet.
Le sport féminin, à raison, gagne en légitimité auprès des spectateurs. Selon ce baromètre, 71 % des personnes intéressées par les Jeux Olympiques de Paris 2024 ont l’intention de suivre autant le sport féminin que masculin.
Cependant, en analysant plus finement les données, l’intérêt pour le sport féminin ou le sport masculin est très genré : 15 % des femmes indiquent vouloir regarder uniquement du sport féminin, contre 2 % des hommes. Parallèlement, 29 % des hommes déclarent un intérêt exclusif pour les sports masculins, contre 10 % des femmes. Les Jeux Paralympiques, eux, seront plutôt bien suivis. Près de la moitié des Français envisagent de les regarder.
Mais les Jeux Olympiques et Paralympiques sont également l’occasion de découvrir des sports méconnus, originaux pour le coup, mais non moins intéressants. 60 % des Français pensent profiter des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 pour découvrir de nouvelles disciplines qu’ils ou elles ne suivent pas habituellement.
En somme, le fait que les Jeux se déroulent en France n’a pas un impact significatif si l’on se fit exclusivement à l’enquête, mais on observe des changements encourageants, notamment ceux liés aux modes de pensée.
Ainsi, le baromètre national des pratiques sportives nous a fourni des données appréciables. Sur 4023 personnes interrogées, des résultats encourageants sont à mentionner. De l’évolution positive de la pratique sportive des Français en 2022, l’écart se resserrant entre hommes et femmes dans la pratique sportive, cette pratique plus importante parmi les catégories sociales plus modestes, la montée en puissance du télétravail modifiant celle-ci, en passant par l’impact des Jeux Olympiques sur la vision du sport des Français; De nombreux chiffres ont mis en lumière des progrès évidents, et des axes d’amélioration persistants. Pour ceux qui souhaitent découvrir d’autres chiffres interessants, vous pouvez vous rendre sur le site web de l’Institut National de la Jeunesse et de l’Education Populaire (INJEP), en cliquant ici.
Concernant les pratiques, il a été identifié que les filles font plus de danse, de gymnastique, de sports aquatiques et nautiques, de marche et de course. Les garçons, eux, font davantage de sport de cycle et collectifs.
Cela étant dit, mesdames, mesdemoiselles, osez rouler sur la jante, et faites la passe ! Messieurs, mesdamoiseaux, plongez, courez, dansez maintenant !
La sédentarité et le surpoids font des ravages sur la santé des ados. Ils le savent mais la société de consommation ne leur fait aucun cadeau. Et les parents baissent les bras. M24 a réuni 240 collégiens et deux diététiciennes pour réagir. Ecoutons-les !
Parents, soyez rassurés ! Vos ados sont plutôt soucieux de ce qu’ils mangent et de leur santé en général. Ils ont compris que la diversité alimentaire, l’hydratation et la pratique sportive sont essentielles à leur équilibre.
Voilà le premier enseignement de la conférence proposée par M24 et intitulée « Surpoids: et si on en parlait ?« , à laquelle ont participé 240 élèves de 4e et de 3e ce mercredi 8 mars au sein de l’Institution Sainte-Trinité (Marseille, 9e arrondissement). Les enfants sont donc au courant de ces problématiques.
La tyrannie du corps parfait, galbé, musclé
Ils constituent cependant des cibles privilégiées sur les réseaux sociaux où ils s’abreuvent et où ils font l’objet d’un matraquage sur la tyrannie du corps parfait, galbé pour les filles, musclé pour les garçons. Un élève de 3e interroge : « Quels conseils me donnez-vous pour prendre du poids ?« , sous -entendu : de la masse musculaire.
Des influenceurs grassement rémunérés pour cela vantent sur les réseaux les régimes (souvent payants), des méthodes non validées scientifiquement, des produits de prise de masse (potentiellement dangereux pour des mineurs) ou des sports (parfois onéreux) pour y arriver, sans parler des applications vendues comme « miraculeuses ».
« Perdre 2 kilos en 3 jours… »
Toutefois, ces jeunes savent-ils réellement comment affronter le danger du surpoids voire de l’obésité (un obèse a une espérance de vie réduite de dix ans) qui les guette ? Aujourd’hui un jeune sur quatre est en surpoids en France, ce chiffre flambe d’une enquête de santé publique à l’autre (et les adultes font pire puisque c’est quasiment un sur deux !). Les causes sont connues de tous : la sédentarité, et l’usage immodéré des écrans qui y est lié, la malbouffe ou la bouffe à toute heure.
A entendre l’avalanche de questions surgies des rangs des élèves réunis hier, on peut douter qu’ils possèdent les moyens d’affronter le tsunami de gras et de sucre qui nous cerne. Petit florilège : « Comment peut-on perdre 2 kilos en 3 jours? » « Est-ce que le jeûne est intéressant à pratiquer? » « Peut-on sauter un repas pour maigrir ? » « C’est bien de manger des pâtes au goûter, avant d’aller m’entraîner ? » Réponses : Non, non, non, et… non!
1 Coca = 8 morceaux de sucre
Les deux diététiciennes mobilisées pour cette conférence ont eu du pain sur la planche. Morgane Catala-Roigt (Hôpital Saint-Joseph) a rappelé les aliments essentiels à consommer aux repas de midi et du soir pour un ado : une viande ou assimilé, des légumes, des féculents, un laitage et un fruit ou dérivé. Elle a insisté sur la surconsommation de gras et de sucre : les sodas, les pâtes à tartiner, les barres chocolatées en sont bourrés. On trouve l’équivalent de 8 morceaux de sucre dans une canette de Coca-Cola ! Pour les nutritionnistes, la consommation de ces aliments plaisir devrait rester exceptionnelle dans la semaine alors qu’ils font quelquefois partie d’une alimentation quasi quotidienne en 2023, ou en tout cas plusieurs fois par semaine.
Laura Larlet, diététicienne à la Sodexo, l’entreprise de restauration collective, a montré un tableau très intéressant sur l’équivalent en cuillérées à soupe d’huile pour ces aliments. Ainsi le petit sachet de chips de 30g, c’est 2 cuillérées. « C’est énorme, surtout qu’en général on mange 2 ou 3 sachets. » Une portion de 100g de frites ? 2,5 cuillérées ! Bien souvent à la maison un ado va en dévorer 200g sinon plus. Une bombe calorique !
Les céréales du matin : y a de l’abus !
Les élèves de 4ème B avaient conduit pour l’occasion, avec leur professeure Audrey Formosa, une enquête remarquable sur leur consommation quotidienne, qu’ils ont communiquée à l’ensemble des participants à la conférence. Ils se sont ainsi rendu compte que 10% des élèves sautent le repas du soir, ou encore qu’une proportion importante de filles notamment ne pratique aucun sport en dehors de l’école. 59% des filles et garçons estiment que les fruits et légumes sont les aliments les moins consommés au quotidien, mais 89% mangent des gâteaux et des sucreries.
Et puis ces enfants de 13 ans ont plongé dans le bol matinal des céréales ultra-transformées du type « Trésor » pour se rendre compte que ce n’était pas 30g, comme il est recommandé, que les gourmands avalaient, mais 100g ! Une sacrée dose de sucre et de gras. Même analyse sur les menus des fast-food. Les élèves ont pointé que l’apport calorique y est beaucoup trop important, et les apports nutritionnels sont déséquilibrés (pas de légume ni de fruit ni généralement de laitage).
« Les enfants ne boivent pas assez d’eau »
Morgane Catala-Roigt a insisté sur deux choses : 1- ne jamais faire de régime quand on est adolescent sans un suivi médical, ni se priver de certains aliments, et encore moins sauter des repas ou pratiquer le jeûne pour maigrir : « Ce sont de très mauvaises idées ! Vous êtes en pleine croissance et vous avez besoin de tous les apports nutritionnels d’une alimentation variée. » 2- boire de l’eau. « Le matin, il faut absolument hydrater votre corps, or beaucoup de personnes ne prennent pas du tout de petit-déjeuner. C’est une erreur pour deux raisons : d’abord votre corps a besoin d’eau pour fonctionner, régénérer les cellules, car il est constitué d’eau à 70%; et ensuite, si vous sautez ce repas, cela veut dire que vous ne vous alimentez pas entre 20h le soir et 12h le lendemain, soit durant 16h ! Du coup vous aurez faim vers 10h, vous ne serez pas bien pour travailler, et vous allez vous goinfrer à midi, et ça, c’est très mauvais !«
« A la cantine, on est obligé d’avaler à toute vitesse »
Les élèves ont aussi signalé les aberrations du système scolaire qui empile les heures de cours parfois au détriment de leur santé. A la nutritionniste de l’hôpital qui insistait sur la nécessité de prendre son temps pour manger – « Un repas ça doit durer 45 minutes au moins » -, de bien mastiquer afin que notre cerveau ait la sensation de plaisir et de satiété et que la salive joue son rôle pour faciliter la digestion de l’estomac et éviter l’impression de lourdeur, un garçon interroge : « On n’a qu’une demi-heure pour manger, alors on est obligé d’avaler à toute vitesse, comment faire ?«
Les légumes en boîte, moins chers et très bien
Autre interrogation dérangeante adressée aux expertes, qui recommandent à juste titre de varier les sources de protéines en mangeant du poisson, comme du saumon par exemple : « Le poisson, ça coûte cher, comment se nourrir bien dans ces conditions? » lance un garçon de 3ème. Difficile de répondre. « Il n’y a pas de honte à manger du poisson vendu en surgelé, c’est le même apport et c’est souvent moins cher, plaide Morgane Catala-Roigt. Les conserves, c’est aussi très bien, notamment pour les légumes. Parlez-en à vos parents !«
Ces échanges ont dû faire l’objet de quelques discussions animées le soir-même avec les parents justement, autour des spaghettis-bolognaise (validés par les nutritionnistes, ouf! A condition qu’ils soient accompagnés d’une salade et d’un yaourt). Astuce délivrée par les diététiciennes : vu que les enfants n’aiment généralement pas trop les légumes cuits, pensez à les préparer en crudités, ça passe bien mieux : batônnets de carotte, de concombre, tomates-cerises…
La société qui repose sur l’ultra consommation et le législateur qui accepte le matraquage des industriels de l’agroalimentaire et des chaînes de fast-food prenant pour cibles les enfants sur les réseaux sociaux, l’institution scolaire qui ne laisse pas suffisamment de temps aux enfants pour déjeuner, comme les parents qui baissent les bras en ne sacralisant plus le temps des repas, tout ce petit monde devrait donc se remettre en question. Car nos enfants ont conscience des dangers pour leur santé et ne demandent qu’à mieux se nourrir.
C’est le collège-lycée de l’ORT (Marseille, 10e arrondissement), également membre de M24, qui accueillera la prochaine conférence dirigée par le docteur Hervé Collado, vice-président de M24.
L’organisation des JO 2024 recrute 3 000 étudiants pour participer à des missions de sécurité. La carte délivrée au terme d’une formation rémunérée permettra de travailler jusqu’en 2025.
Vous le savez sans doute : les Jeux Olympiques 2024 auront lieu en France du vendredi 26 juillet au dimanche 11 août 2024 et les Jeux Paralympiques du 28 août au 8 septembre. L’accueil des 15 millions de spectateurs venus du monde entire ainsi que leur sécurité seront bien entendu une priorité. C’est pourquoi l’organisation de ces deux évènements phares recrute…et si tu es étudiant(e), tu auras un grand rôle à jouer !
Les JO c’est aussi à Marseille
Les Jeux Olympiques et Paralympiques 2024, organisés à Paris, mais également à Marseille notamment pour les épreuves de voile et dix matchs de foot féminins et masculins (dont deux de l’équipe de France), seront un vivier d’emplois pour les étudiants(es). La team M24 s’empresse de te relayer l’information, afin que tu ne restes pas sur la touche, ou au moins que tu tentes ta chance. Autant dire qu’il y aura du pain sur la planche !
En effet, l’organisation recherche activement 3000 étudiants(es), afin de rejoindre les milliers d’agents de sécurité privés, intégrant le dispositif d’accueil des spectateurs et de sécurisation des lieux durant les évènements. Il faut être majeur et avoir un casier judiciaire vierge. Les missions durant l’événement seront les suivantes : réaliser des contrôles d’accès, effectuer la sécurisation des sites olympiques, village olympique, pôle médias, espaces VIP…
L’occasion d’être immergé(e) dans le spectacle
Gagner sa croûte, tout en vivant de près un moment historique : c’est la promesse faite par l’organisation.
Tu pourras sentir la ferveur ambiante dans les stades, regarder au plus près les exploits de tes idoles, tout en étant l’acteur(rice) d’un événement accueillant et sécurisé. Si tu souhaites vivre et contribuer à cela, dépêche toi de te former ! 3000 places, ça part vite mine de rien.
Une fois que tu auras pris contact avec l’organisme et que tu l’auras informé de ton intérêt, il te restera à constituer ton dossier.
Etape 2: forme-toi, c’est gratuit et rémunéré
Pour devenir agent sur ce type de manifestation, il te faudra suivre 3 semaines de cours. Les deux premières en présentiel, la dernière en distanciel. La formation est répartie sur 106 heures rémunérées. C’est Pôle emploi qui t’informera ensuite des missions proposées.
La possibilité d’être recruté(e) pour d’autres événements
A l’issue de cette formation, tu obtiendras une carte professionnelle valable jusqu’en 2025. Elle te permettra d’être embauché(e) dans de nombreux événements sportifs et culturels accueillant plus de 300 personnes, des grands matchs aux méga concerts.
21% des 8-17 ans sont en surpoids en France. 240 collégiens ont rendez-vous pour en parler.
C’est ce mercredi 8 mars que se déroulera la conférence « Surpoids: et si on en parlait? », destinée aux 240 élèves de 4e et 3e de l’Institution Sainte-Trinité (13009 Marseille). Pour échanger avec eux, deux nutritionnistes : Morgane Catala-Roigt de l’Hôpital Saint-Joseph et Laura Larlet de l’entreprise de restauration Sodexo.
A noter l’initiative d’une classe de 4e pilotée par leur enseignante Audrey Formosa. Ils ont réalisé un sondage sur les habitudes alimentaires des élèves de 4e. Résultats mercredi en ouverture de la conférence, et dans les prochains jours sur notre site et nos réseaux.
En mai, c’est le collège-lycée de l’ORT-Bramson (13010) qui organisera un débat sur le sujet du surpoids à destination de ses élèves.
Chez les enfants de 2 à 7 ans en France, 34% sont en surpoids et 18% obèses. Chez les 8-17 ans, 21% sont en surpoids et 6% obèses (enquête Obépi 2020).
C’est le nouveau lieu de rencontre sportif ! La patinoire s’impose comme une référence chez les jeunes Phocéens. Pour s’amuser entre amis ou faire des étincelles en patinage artistique et hockey.
Par Lisa Scornet, lycéenne à l’Institution Sainte-Trinité
Abritant la plus grande patinoire sportive de France, le Palais Omnisports situé à la Capelette dans le 10ème arrondissement de Marseille accueille des centaines de personnes par jour lors des séances publiques. Beaucoup viennent s’amuser et passer un bon moment entre amis. D’autres sont là pour s’entraîner et certains n’ont qu’un rêve, rejoindre l’équipe locale de hockey des Spartiates.
Une patinoire géante depuis 2009
Arrivé en France en 1891, le hockey sur glace a directement su conquérir les cœurs des aristocrates de Versailles. Seulement trois ans plus tard, la glace artificielle débarque avec la construction de deux patinoires dans Paris. Ce qui amène naturellement un Hockey Club et un club des Patineurs.
Des patinoires ont essaimé dans la France entière au fil du XXe siècle et surtout après le succès des Jeux Olympiques d’hiver de Grenoble en 1968. Après sa patinoire démontable née en 1969, Marseille a ainsi vu s’ériger entre 2007 et 2009 un majestueux palais de la glisse et de la glace, qui abrite en réalité deux patinoires, une olympique (1 800m2) et une de taille ronde, ludique (1 250m2), reliées par un tunnel. Les tribunes peuvent accueillir plus de 6 000 spectateurs. Sans oublier un skate-park indoor à l’étage.
Esprit d’équipe et entraide
Hockey, patinage artistique, freestyle sont devenus très populaires, surtout chez les jeunes adultes et adolescents ces dernières années. Des sports dynamiques qui offrent une expérience de jeu rapide et excitante. En plus de la concentration et de la coordination que cela demande, cette pratique peut représenter de véritables défis physiques et mentaux pour les professionnels.
Après avoir demandé à plusieurs personnes sur la glace ce qu’elles pensaient de chacun de ces sports, j’ai pu dégager une certaine idée générale : le hockey prône l’esprit d’équipe, le patinage artistique est une preuve d’entraide, et le freestyle rapproche les amateurs et les connaisseurs.
Le plaisir et l’exigence
Les sports de glace restent très accessibles. La patinoire du Palais Omnisports est ouverte toute l’année, de quoi s’amuser et s’exercer en toute saison. L’équipement – dont les patins – peut vous y être prêté. Dans le cas où vous souhaitez avoir quelque chose de personnel, les patins peuvent commencer avec une gamme très peu chère pour un but récréatif (30 à 40€).
Mais ne vous y trompez pas, ces sports restent très physiques. A haut niveau, cela demande un énorme contrôle dans chaque partie du corps, une posture droite, un mental d’acier et un entraînement sportif à côté. A un niveau plus commun, c’est juste un excellent moyen pour garder la forme et préserver une certaine silhouette.
Un lieu de convivialité
En bref, les sports de glace offrent une expérience aussi inoubliable que les relations qu’ils créent. Beaucoup ont affirmé s’être connus à la patinoire par des clubs, des cours ou par des amis d’amis lors des séances publiques. De quoi s’amuser tout en faisant du sport !